Dans le placard De Devil. Les esclaves écrivent.

Bon, alors Chloetteuh, écrivain à ses heures perdues (c'est dire si il y en a beaucoup), a décidé de publier ses grands écrits. Pour pas vous effrayer tout de suite, je vais commencer par quelques textes assez courts, après je mettrais quelques nouvelles... Piou, et bandes de faineants, me dites pas que c'est trop long. Sinon j'envoie mon maître vous mordre.

J'écris sans prétention.
Passionée de lecture et d'écriture.

Je nage sans ambition.
Comme un poisson dans l'eau.
Heureux de sa simple condition.

J'admire avec illusion.
D'un homme à boucle d'oreille.
De nutella, et de bisous dans le cou.
Maintenant , peut être est revenu d'un long voyage.

T'es sur le trottoir et moi? J'me barre?
Y'a plus de ça...




Okeeeeey, ça c'est pas très littéraire. C'est même un peu laid. C'est meme pas un poême, c'est nuuuuuul. Suivant c'est looooong, alors prenez votre temps.

c long Xd j'aime bien le premier jliré les autre quand j'aurais les courage mdr

Je vais
faire
plusieurs posts, ça aura l'air moins long...

La batterie détone, la guitare vomis des notes suraigues, et la basse, la basse vibre comme jamais. C'est une musique bruyante, magnifique et de toute façon cela m'importe peu. Je danse avec la guitare, je saute au rythme de la batterie , hurle mon desespoir en total accord avec la basse.

Si cela se finit trop vite. On ne prend jamais trop de précautions; je t'aime.


La guitare se lance dans un solo spectaculaire, les corde émettent des sons très aigus qui me cinglent les oreilles, des notes qui semblent résoner contre chaque atome de dioxygène, des notes à percer les tympans, de celles qui fascinent, de celle qui assassinent. L'air, l'oxygène que je respire me semble lourd, l'atmosphère m'écrase, les forces du monde entier s'abattent sur moi. Je n'ai plus de larmes , plus de tympans, et cette musique m'entraine, me possède. Je danse, psychopate. Je ne pleure plus, schyzophrène, de toute façon plus rien ne m'importe. Du rythme sans relache établi par la batterie , au vibration destructrice de la basse mon coeur ne demande plus qu'à lacher.


De toute manière, je n'existe plus. Car dans tes yeux tout est éteint.


La basse , voix grave de ténor donne le ton, elle embaume cette foutue athmosphère de quelque chose de morbide, il suffirait qu'un chien quelconque se mette à hurler, à la mort, mais laquelle? Le tableau serait complet. Sans arrèt , les sons atteignent mes oreilles, me prennent à la gorge et je pourrais hurler ma fin, cela passerait inaperçu, et puis peu m'importe, j'aimerais me laisser porter par la violence de cette musique, devenir musique, devenir violence. Je danse epileptique en crise, je chante autiste incomprise.


Je t'ai trahi. Je me suis trahie. Pas à pas je monte chaque marche. La potence m'attend.


La batterie résonne, la batterie guide mes pas, mes respirations et mes pensées, je n'ai plus de coeur pour battre, il gît au sol, battant encore dans une rivière de pensées. La batterie en prend la place, m'impose son rythme , bien trop rapide.
J'agonise car dans les bras d'un autre je me suis jetée. Je cherche là où il n'y a rien à trouver. J'agonise sous le regard d'ignorants. J'agonise je saigne intérieurement, et j'ai besoin d'extérioriser.

Je chante, je danse, possédée. Je crie , je saute plus rien n'existe. Je hurle dans le micro, je me détruit violemment . Je me saigne, déchire ma peau, de mes ongles, de mes dents. Je n'ai plus le contrôle de rien. Je boue, d'une rage intérieure. Crise d'épilepsie diabolique, de façon ridicule, brutale, je secoue ma tête et mes neurones, j'arrache le peu de vie qui me reste . Je ris , d'un rire desespéré qui sonne faux, sans arrèt aucun je danse toujours , je suis possédée, obsédée par ces yeux, par cette lueur, cette impression de bonheur, de joie idyllique qui a pu exister auparavant. Je vois rouge , vert, bleu, orange et même rose à un moment, vision paradisiaque pour une mort plutôt proche , pour ses beaux yeux chocolatés et son rire de gosse. Pour ça , pour tout ce bonheur passé, cette vie gachée , je donnerai tout y compris ma vie , et surtout ma vie, pour que tu puisses aprécier le spectacle original de ma fin, pour que tu admires les gouttes de sang qui volent, les gouttes de mon sang, que je t'offre, si seulement tu étais un vampire.
C'est bientôt la fin , histoire plutôt rapide ma foi , courte et pleine d'émotion. Il ne te restera que les souvenirs , de mon sourire narquois, de mes yeux moqueurs, de ce visage rempli de vices, et, de moi allongée, sur cette scène , baignant dans mon propre sang, une perle rouge au coin de l'oeil, une rose pour ma fin.

Des roses pour ma fin.

Rouge pour la passion, rouge pour la vie, rouge pour mes envies.

Fondue au noir.

J'avoue que tu gère la fougère uhuh

pour lequel?

Bah tous ^^

Tu claques t'as tout lu!! =D

Moi j'ai tout lu et c'est super bien écrit, j'hallucine ! =O
J'ai envie de baiser tes textes. =D
Tu devrais mettre des jolis titres à tes textes pour les rendre plus jolis. =)
On a l'impression d'y être c'est génial.
Tu t'es inspiré d'une musique spéciale pour écrire le 2eme texte ?
bravo coupine =)

Beuuuuh, le deuxième a été écrit en écoutant beaucoup beaucoup beaucoup de musiques dont je ne connais pas le nom, en gros j'écoutais mes voisins jouer, et j'me suis imaginée dans leurs maisooooon. xD
M'enfin désolée ce sont largement des textes de dépressive.
J'en ai un autre trop trop long pas fini, que je vais poster petit morceau par petit morceau, comme ça ça fera feuilleton, comme dans l'ancien temps... mdr


Edit : Moi avoir envie de poster un dessin...

Je trouve ça drôle, parce qu'en réalité il se trouve sur une table de faidherbes, et qu'il est 3 fois plus petit...

J'ai besoin de bruit. J'ai besoin d'action. Je crève de joie.
J'habite si près du paradis, j'habite près d'une rivière dorée, d'une montagne étoilée, et d'une fourmilière géante. Lille. L'île. De mes rêves. Ou des tiens.
J'ai tellement d'hypothèse à formuler, j'ai tellement de chose à dire que je ne dis plus rien.
Je capture tes lèvres, je te vole un baiser, pour une étreinte, courte rapide, animale.
Amoureuse. De toi. Complétement crazy baby. J'aime dire ça. J'aime la consonnance de ces mots. Je suis crazy baby. Crazy baby...
Une rose, rouge, un arbre, ou plusieurs, et une feuille. C'est de la technologie ça.

Ah le bruit. Ah les guitares, et la batterie, ou même la basse, qui résonne dans mes oreilles comme un orchestre complétement cinglé. C'est une course au plus fou. Je gagnerai, je suis complétement cinglée. Jusqu'au plus profond de mon âme. Hein Helena, on est des sales folles? =)

J'ordonne, maintenant, que tout le monde se lève, que tout le monde soit joyeux, riez, et puis sautez aussi. <3

Un coup de revolver. Silence , je dors.

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Je viens de retrouver ça, et bien que ça ne raconte rien de précis, je trouve que c'est beaaaaau. <3
Je m'auto aime.

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Je suis étendue sur le sol du collège, regardant le plafond avec admiration, c'est fou comme je suis calme, je n'aurais jamais cru cela possible, il me semble magnifique ce plafond blanc, presque divin, oui car il est blanc voyez vous. Blanc et très blanc. Blanc et pur. Blanc et parfait. Moi aussi j'aimerais être parfaite, et illuminer tout le monde de ma présence, être complétement indispensable. Cependant, il se passe beaucoup de choses autour de moi, il y a beaucoup de monde, et beaucoup de mouvements, j'aperçois quelques une de mes amies monter les escaliers avec empressement et entrer dans la salle à côté de laquelle je me trouve, la porte est entrouverte, et beaucoup de professeur y entrent et en sortent, quelques un de mes amis aussi, l'air paniqué, l'air énervé déçu et peut être un peu trop triste. Quoi qu'il en soit, moi je suis toujours là, allongée sur le dos, j'ai envie de fermer les yeux, j'ai envie de m'endormir, mais il me semble que ce serait la goutte d'eau qui ferait déborder le vase, c'est déja très insolent de s'allonger en plein milieu d'un couloir alors imaginez s'y endormir, je ne voudrais tout de même pas me faire renvoyer. Ceci dit je suis très bien là. Je ne dois plus penser qu'à moi, c'est un devoir, je le sais , je le sens, plus besoin d'observer tout le monde, d'admirer chacune de leurs paroles, chacun de leurs gestes, oui maintenant, je suis libérée d'eux tous, je suis enfin seule, et je suis la meilleure en ce monde. Je ne suis plus pesante, je ne suis plus la pire chose qui ait existé dans leur vie, car je n'existe plus que dans mon monde, et les larmes sur le visage de ma meilleure amie ne m'atteigne pas, bien qu'elle soit là , au dessus de moi, à cacher le plafond à ma vue, à me murmurer des mots que je n'entend plus, ses larmes coulent sur mes joues, ses larmes sont la preuve de sa perfection et de son incroyable empathie, de la jolie pitié qu'elle cultive à mon égard. C'est réconfortant. Terriblement réconfortant. De s'apercevoir que ça ne me fait plus rien, que je n'ai plus besoin d'elle dans ce monde là. Quel monde joyeux, c'est le paradis, le jardin d'eden qui m'est offert, pourvu que le serpent ne pointe pas le bout de sa langue fourchue...

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Et puis ça c'est un début, qui attend une suite, je la posterai plus taaaard!!

(L) niaaaan =)

Ce qui signifie?

C'est chouette =) C'est même très très beau.
Quand je saurais dessiner, ben j'illustrerai tes textes =)

jtrouve sa assez beau brivooooo

Chloette a écrit:

La batterie détone, la guitare vomis des notes suraigues, et la basse, la basse vibre comme jamais. C'est une musique bruyante, magnifique et de toute façon cela m'importe peu. Je danse avec la guitare, je saute au rythme de la batterie , hurle mon desespoir en total accord avec la basse.

Si cela se finit trop vite. On ne prend jamais trop de précautions; je t'aime.


La guitare se lance dans un solo spectaculaire, les corde émettent des sons très aigus qui me cinglent les oreilles, des notes qui semblent résoner contre chaque atome de dioxygène, des notes à percer les tympans, de celles qui fascinent, de celle qui assassinent. L'air, l'oxygène que je respire me semble lourd, l'atmosphère m'écrase, les forces du monde entier s'abattent sur moi. Je n'ai plus de larmes , plus de tympans, et cette musique m'entraine, me possède. Je danse, psychopate. Je ne pleure plus, schyzophrène, de toute façon plus rien ne m'importe. Du rythme sans relache établi par la batterie , au vibration destructrice de la basse mon coeur ne demande plus qu'à lacher.


De toute manière, je n'existe plus. Car dans tes yeux tout est éteint.


La basse , voix grave de ténor donne le ton, elle embaume cette foutue athmosphère de quelque chose de morbide, il suffirait qu'un chien quelconque se mette à hurler, à la mort, mais laquelle? Le tableau serait complet. Sans arrèt , les sons atteignent mes oreilles, me prennent à la gorge et je pourrais hurler ma fin, cela passerait inaperçu, et puis peu m'importe, j'aimerais me laisser porter par la violence de cette musique, devenir musique, devenir violence. Je danse epileptique en crise, je chante autiste incomprise.


Je t'ai trahi. Je me suis trahie. Pas à pas je monte chaque marche. La potence m'attend.


La batterie résonne, la batterie guide mes pas, mes respirations et mes pensées, je n'ai plus de coeur pour battre, il gît au sol, battant encore dans une rivière de pensées. La batterie en prend la place, m'impose son rythme , bien trop rapide.
J'agonise car dans les bras d'un autre je me suis jetée. Je cherche là où il n'y a rien à trouver. J'agonise sous le regard d'ignorants. J'agonise je saigne intérieurement, et j'ai besoin d'extérioriser.

Je chante, je danse, possédée. Je crie , je saute plus rien n'existe. Je hurle dans le micro, je me détruit violemment . Je me saigne, déchire ma peau, de mes ongles, de mes dents. Je n'ai plus le contrôle de rien. Je boue, d'une rage intérieure. Crise d'épilepsie diabolique, de façon ridicule, brutale, je secoue ma tête et mes neurones, j'arrache le peu de vie qui me reste . Je ris , d'un rire desespéré qui sonne faux, sans arrèt aucun je danse toujours , je suis possédée, obsédée par ces yeux, par cette lueur, cette impression de bonheur, de joie idyllique qui a pu exister auparavant. Je vois rouge , vert, bleu, orange et même rose à un moment, vision paradisiaque pour une mort plutôt proche , pour ses beaux yeux chocolatés et son rire de gosse. Pour ça , pour tout ce bonheur passé, cette vie gachée , je donnerai tout y compris ma vie , et surtout ma vie, pour que tu puisses aprécier le spectacle original de ma fin, pour que tu admires les gouttes de sang qui volent, les gouttes de mon sang, que je t'offre, si seulement tu étais un vampire.
C'est bientôt la fin , histoire plutôt rapide ma foi , courte et pleine d'émotion. Il ne te restera que les souvenirs , de mon sourire narquois, de mes yeux moqueurs, de ce visage rempli de vices, et, de moi allongée, sur cette scène , baignant dans mon propre sang, une perle rouge au coin de l'oeil, une rose pour ma fin.

Des roses pour ma fin.

Rouge pour la passion, rouge pour la vie, rouge pour mes envies.

Fondue au noir.

Bon mes impressions.

C'est du gros gros gros caca, ca fait vieux stéréotype, j'ai écris un texte similaire en troisième et franchement j'en ai honte et mon frère écrit les mêmes en 5ème c'est dire le niveau pourri de ce texte.

LOL.

J'avais oublié qu'ORSON , le GRAND Orson faisait tout mieux que tout le monde...
Je n'ai jamais eu la prétention d'être une grande artiste .

Mais je vois que toi tu possèdes cette prétention.
J'dirais pas que ça me touche pas ce que tu écris, parce que ça me touche vraiment, c'est bête et méchant.
Oui bête et méchant. Aucun intéret.

J'ai rien à dire sur ce que tu écris, pas que c'est mal fais, ni qu'il y a des fautes mais bon...

Il est peut être bête et méchant mais que fais tu avec médor (et plein d'autres d'ailleur) ??

=)

C'est vrai , je ne le nierais pas.

Chloette a écrit:

LOL.

J'avais oublié qu'ORSON , le GRAND Orson faisait tout mieux que tout le monde...
Je n'ai jamais eu la prétention d'être une grande artiste .

Mais je vois que toi tu possèdes cette prétention.
J'dirais pas que ça me touche pas ce que tu écris, parce que ça me touche vraiment, c'est bête et méchant.
Oui bête et méchant. Aucun intéret.

J'ai pas dit que je faisais mieux, j'ai dit que j'avais écrit une merde semblable en troisième et que c'était un stéréotype.

Ose me dire que toutes les filles de 15 ans écrivent pas des trucs du genre..

MArf j'ose te le dire.
Oui ça tourne toujours autour du meme sujet, et alors? Peut être parce qu'on a tous les meme sujet en tête, peut être parce que l'originalité n'a pas d'importance quand on a juste envie d'exprimer ce que l'on a sur le coeur, et si ce que j'ai sur le coeur est d'une banalité impressionante, quelle importance?

Je ne pense pas en écrivant quelque chose à écrire quelque chose d'original, mais quelque chose de pensé, et quelque chose qui vient du coeur. Si en plus c'est original, c'est une bonne chose, je ne recherche pas l'originalité, parce que ce serait stupide faux et le résultat serait plus que minable. Je recherche simplement à écrire des choses ressentie, à faire passer mes sentiments, et mes états d'âme peut être sont ils propre à l'adolescente et non à moi même! Et alors! Quelle importance? Si d'autre peuvent s'y retrouver, si d'autres ressentent la même chose et essaient de transmettre la même chose tant mieux! Non?

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